ISRAËL-PALESTINE : UN PROBLÈME CRUCIAL TOUJOURS SANS SOLUTION
Sur la carte du monde, la Palestine est un petit
territoire, infime si on le compare avec celui de par exemple l´Afrique aussi
bien représente dans ce dossier ; Mais il s´agit bien d´un point chaud
d´importance mondiale, car les luttes qui s´y déroulent depuis des années ont
un retentissement médiatique mondial. La population Européen (et par ailleurs
celle espagnole), se sont si engagés de ce qu´on appel le conflit Palestine
qu´il est difficile de trouver une personne qui ne s´est pas positionné
idéologiquement d´une ou de l´autre partie. Il faut admettre que dans ce
conflit, il y a une partie très important des charges émotionnelles et
symboliques, car, en fait, dans ces territoires n´existe aucune richesse
significative (rien de pétrole, de ressources minéraux, etc.).
Au départ, ce qu´ont trouve c´est un étonnant
projet géopolitique : le sionisme. La dispersion très ancienne à travers le monde de personnes qui ont la
même religion, mais qui parlent de longues parfois différents et qui ont
contribué au développement de différents nations veulent créée une nation dont
l´identification particulière soit le judaïsme. Durant vingt siècles ils se
sont étendus dans le monde en conservant leur foi, mais en s´intégrant dans les
cultures diverses. (On a les juifs séfarades en Espagne, qui parlaient le
ladino ; Juifs ashkénazes en Allemagne qui parlaient le yiddish ; les
juif orientaux qui sont arabophones, etc.).
C´est entre les juifs d´Autriche, d´Allemane et
d´Europe oriental que le courant sioniste est apparu, à la fin du XIX siècle.
L´idée original d´un état entièrement juif a été présente par le théoricien hongrois
Theodor Herlz dans son ouvre
« L´état Juif : essai sur une solution moderne de la question juive[ii] ».
C´est vrai que ce n´est pas lui qui a considère en premier l´implantation des
colonnes palestinien, mais son antécesseur, communiste allemande, Monsieur
Moses Hess, mais Theodor Herlz propose
la création d´un état entièrement juif. Auparavant,
en 1882 il avait été crée (près de Jaffa) la première colonie agricole juif de
Palestine, de telle manière que dès le début du XXème siècle, la affluence
(plus ou moins clandestine) devient régulière dans la région. Ce mouvement de
population a été tout de suit appuyé la diplomatie allemande, et l´entérinée de
l´Empire ottoman, mais désapprouvée par les britanniques qui voyaient dans ce
mouvement une menace potentielle sur la route des indes (par la via du Koweït).
Malgré cela, en 1917 le ministre des affaires étrangères britanniques
reconnait son soutien officiel à « l´établissement en Palestine d´un foyer
national pour le peuple juif » autant que il soit aussi bien reconnu les
droits du reste des communautés non juives (les arabes parmi autres).
Après la dislocation de l´empire ottoman, la
société des mations confia la Palestine à la Grande Bretagne sous forme de
mandat. Mais la tension entre arabes et juifs monta exponentiellement, de
manière que la grande Bretagne, en cherchant l´équilibre entre les deux peuples
limita l´affluence de juifs dans la zone, mais les juifs se concentrèrent sur
le plateau côtière. Pendant la période d´entre guerre, les tensions entre les
uns et les autres ne feraient qu´augmenter, jusqu´à qu´en 1929 éclate la
révolte des arabes contre les anglais. Mais la période d´entre guerres
s´identifie surtout pour l´accroît de l´antisémitisme (en Allemagne, la
Pologne, etc.). Les sionistes, pour se protéger contre les attaques des uns et
autres s´organisent en village qui fortifient, à travers la création d´une
armée (la Haganah), et encombrant avec l´organisation d´un gouvernement
officieux présidé par David Ben Gourin. Un nombre significatif des juifs y
viennent pour se protéger en passant en 1935 à 375.000 dans la région. Puis,
les britanniques vu leur accroit, décident de interdire toute nouvelle
immigration de juifs. Mais ceux, déjà organisés de façon clandestin menèrent
des attentats contre les britanniques. C´est vrai que pendant la deuxième
guerre mondiale, les sionistes soutinrent les anglais, mais dès la fin du
conflit, la situation redeviendra à celle de la période d´entre guerres.
Au
lendemain de la guerre, le scandale pour les meurtries des juifs fut tel que
les britanniques décideront que dès que une solution de partage entre les deux
communautés sera trouvé ils abandonneront la zone. En 1947 l´organisation des
nations unis décide de divisé la Palestine en deux états, en gardant Jérusalem
et Bethléem comme des enclaves internationalisées. Cette décision est
clairement refusée par tous les États Arabes du Moyen-Orient. Ceux de Palestine
commencèrent a attaquer les village juifs sans même attendre la sortie des
anglais.
En 1948 l´ONU proclame l´indépendance d´Israël
(avec, par ailleurs l´entérinée de l´URSS). À ce moment là des troupes arabes syriennes,
Libanaises, jordaniennes, irakiennes, et égyptiennes ont commençait un attaque
(peu coordonné) aux positions israéliennes. Pendant un moins les Israéliens ne
sont pas capable de s´organiser pour leur défense (sans une organisation
claire, un manque des armes, etc.). Mais un moins plus tard, l´ONU décide un
cessez-le-feu,
qui permettait aux israéliens de prie pour soutien international et d´acheter
des armes d´ailleurs.
Le cessez-le-feu ne tarde pas de être sauté par
l´Egypte quelques moins après de sa signature. L´occasion est bien profité à
niveau stratégique par l´armée israélienne qui lance une grande contre-
offensive en récupérant la Galilée et le lac de Tibériade. Après,
ils se lançaient vers la conquête du sud dont le Mont Sinaï était l´objective
ciblé. La « terre promise » avait une valeur primordiale pour eu,
mais les pressions américaines et la potentielle contre-offensive britannique
vers le canal de Suez freinaient l´avance des troupes israéliennes vers le
sud-ouest. Cette défait resterait long temps dans la mémoire des pays arabes.
Humiliés ils considérèrent désormais la reconquête d´Israël une cible prioritaire.
Aussi, les dépenses militaires accroîtront dans la quasi-totalité des États
arabes. Les arabes cherchaient le soutien militaire dans l´union
soviétique. Dans ce contexte on trouve
les connues comme quatre guerres Israélo-arabes. En 1948 celle qu´on vient de
décrire. Après, en juin de 1967, la guerre des six jours, donc le président
égyptien en alliance avec la Jordanie et la Syrie décident de bloquer le golf
d´Aqaba, en empêchant la livraison de pétrole iranien à l´Israël. Le 5 juin (le
début de la guerre des 5 jours) Israël contre-attaque en détruisant au sol
l´aviation égyptienne. Deux jours plus tard, ils expulsaient l´armée
jordanienne de Cisjordanie, et encore, un autre deux jours plus tard ils
reprenaient le mont Sinaï et le canal de Suez. Le 11 juin la guerre est
terminée par un cessez-le-feu imposé par les Américains et les Soviétiques. Le
contenu de cet accord là, marque jusqu´à aujourd´hui les enjeux politiques et
stratégiques de la zone, surtout parce qu´en 1967 les Israélien avaient conquêt
des territoires traditionnellement possèdes par les arabes dont le Sinaï et
Gaza.
La politique diplomatique d´Israël consistait désormais, en échange certains de
ceux territoires pour la reconnaissance des états arabes de leurs frontières.
Malgré, en 1973 éclat la guerre du Kippour.
L´armée égyptienne profite l´occasion des fêtes religieuse pour attaquer les
israéliens et rentrer en Israël vers le canal de Suez. La guerre s´étendre
quelques années (grâce en part à la défense perpétrait par Ariel Sharon), jusqu´à
le nouveau traité de paix de 1979. La terre du Sinaï est restitué aux
égyptiens, mais la bande de gaza restait du côté Israélien. Mais les problèmes
restaient avec la Syrie dont le haut Golan était la clef des différences.
Avec la Jordanie, le traité est signé en 1994 sans que les Israéliens évacuent
la Cisjordanie..
Israël a utilisé toujours une stratégie de
« surpeuplement» des territoires arabes. C´est le cas notamment de la
Cisjordanie mis aussi de la bande de Gaza. En Gaza, en part pour la pression
internationale les colonies israéliens ont disparu en 2005, mais elles
continuent a s´accroît en Cisjordanie. L´intifada Palestinien de 1987
(guerre des pierres) trouve sa cause en ceux colonies en la bande de Gaza. Mais,
la naïveté disparait lors de la création (initialement clandestin) de Hamas en
1988 comme mouvement de la résistance islamique.
Les heurts sont de plus en plus habituels dont souvent il y participe de côte des palestiniens des
enfants. Cela, fait tourner l´opinion
publique internationale vers les habitants de Gaza. L´opinion publique
internationale commença a jouer un rôle très dans le conflit. Mais en 1991,
lors de l´éclatement de la URSS, Les peuples arabes perdent un fort allié au
cas d´un nouveau contre-attaque. Les rapprochements pour trouver des solutions
entre les deux parties se réalisent près d´OSLO, de manière secrète en 1993,
qui culmine avec les connus comme accords d´Oslo.
Désormais, l´OLP
ne serait plus considérée comme une organisation terroriste mais comme la
représentante licite du peuple palestinien pour Israël, mais en échange,
celle-ci reconnaissait enfin l´existence d´Israël. En s´opposant à cet accord,
les leaders de la droite religieuse israélienne et les leaders de Hamas.
L´épineuse sujet des colonies israéliennes n´était pas abordé pendant les
négociations, même si séparément les palestiniens ont continué à demander
publiquement l´abandonne des israéliens des colonies. D´autre côte, le contrôle
israélien de la bande de Gaza et des territoires Cisjordaniens devra se faire
désormais en fonction de trois zone :
a.
Une
zone A, comprenant la plus grande partie de la zone de Gaza, Jéricho, les
villes de l´Hébron, Bethléem, Ramallah, Naplouse, Djenin et Tulkarem. Tout à fait autonome, sous la responsabilité
exclusive de l´autorité palestinienne.
b.
Une
zone B, sus responsabilité partagé entre les uns et les autres. Elle comprenne la partie sur le plateau qui
sépare les autres deux zones.
c.
Une
zone C, restant sous contrôle israélien.
Malgré tous les inconvénients pour les
palestinien, cette solution pourrait être le début de un processus qui pourrait
aboutir `la création d´un véritable état palestinien. Mais un peu plus tard, le
premier ministre Israélien est assassiné, et le progrès des colonies en la
Cisjordanie recommençaient sous l´auspice des religieux radicaux de droite
Israélien. De l´autre côte, Hamas qui s´opposait aux accords dés le début
demande aux palestiniens de retourner à terre sante pour participer à la lutte
contre les juifs. En 2000 y éclatait une nouvelle intifada, mais à différance
de la précédent, dans celle-là des armées à feu sont utilisées. Hamas commença
à perpétrer des attentats à bombe contre des civils israéliens. Dans ce
contexte Sharon emporte des élections en Israël en se appuyant sur l´idée de
assurer le territoire Israélien par la force si c´est nécessaire. Et,
effectivement, les opérations militarisées se sont rendues dans les villes
palestiniennes comme Bethléem ou Djenin et les murs fortifiés sont construits.
En 2004, le général
Sharon abandonne définitivement la bande de Gaza. La situation y améliorait par
rapport à un essai des nouveaux accords de paix. Puis que le modéré Mahmoud
Abbas devient le leader de l´Autorité palestinienne en 2005 en substituant
Arafat pour décès. En plus cette même
année Ariel Sharon disparait de la scène politique lors d´un grave accident
cérébral. Pour opposition, en janvier 2006, Hamas devient par victoire
électorale un acteur majeur dans la région. Les projectiles artisanaux
survolent les murs vers l´Israël. En fait depuis sa prise de pouvoir, Hamas a
manifesté publiquement son idée de lutte armée contre Israël. Le blocus
Israéliens des frontières de Gaza s´accroit. Et les raids aériens se
reproduisent sur le territoire du Gaza au point que en décembre 2008 une
opération majeur a lieu sur Gaza basés sur des bombes. Elle est nommée
« plomb durci».
Au cours de la quelle les Israéliens entrent dans certaines villes de la bande
de Gaza. La communauté internationale, à travers le conseil de sécurité des
nations unies et l´Union Européenne demande l´arrêt des combats. Deux jours
après le cessez-le-feu, Barack Obama est proclamé présidant. Son premier appel
officiel est réalisé au Mohamed Abbas
(leader de l´Autorité Palestinienne) au fil de la quelle, il monts son
opposition aux colonies et son intention de relancer le procès de paix et de
gérer les négociations bilatérales.
A nos jours, la
situation reste encore instable. Les négociations se sont arrêtées plusieurs
fois malgré la pression internationale. Environ 150 palestiniens de la frange
ont été tues les derniers 5 jours par les bombardements Israéliens (dont
plusieurs civils et des enfants). Aujourd´hui, 21 septembre 2012 la pression de
l´Egypte et les États unies a permit un nouveau cesse du feu mais il reste
instable. On y restera attentif…
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