viernes, 23 de noviembre de 2012

Que la paix soit faite!



ISRAËL-PALESTINE : UN PROBLÈME CRUCIAL TOUJOURS SANS SOLUTION

Sur la carte du monde, la Palestine est un petit territoire, infime si on le compare avec celui de par exemple l´Afrique aussi bien représente dans ce dossier ; Mais il s´agit bien d´un point chaud d´importance mondiale, car les luttes qui s´y déroulent depuis des années ont un retentissement médiatique mondial. La population Européen (et par ailleurs celle espagnole), se sont si engagés de ce qu´on appel le conflit Palestine qu´il est difficile de trouver une personne qui ne s´est pas positionné idéologiquement d´une ou de l´autre partie. Il faut admettre que dans ce conflit, il y a une partie très important des charges émotionnelles et symboliques, car, en fait, dans ces territoires n´existe aucune richesse significative (rien de pétrole, de ressources minéraux, etc.).
Au départ, ce qu´ont trouve c´est un étonnant projet géopolitique : le sionisme. La dispersion très ancienne  à travers le monde de personnes qui ont la même religion, mais qui parlent de longues parfois différents et qui ont contribué au développement de différents nations veulent créée une nation dont l´identification particulière soit le judaïsme. Durant vingt siècles ils se sont étendus dans le monde en conservant leur foi, mais en s´intégrant dans les cultures diverses. (On a les juifs séfarades en Espagne, qui parlaient le ladino ; Juifs ashkénazes en Allemagne qui parlaient le yiddish ; les juif orientaux qui sont arabophones, etc.).
C´est entre les juifs d´Autriche, d´Allemane et d´Europe oriental que le courant sioniste est apparu, à la fin du XIX siècle. L´idée original d´un état entièrement juif a été présente par le théoricien hongrois Theodor  Herlz dans son ouvre « L´état Juif : essai sur une solution moderne de la question juive[ii] ». C´est vrai que ce n´est pas lui qui a considère en premier l´implantation des colonnes palestinien, mais son antécesseur, communiste allemande, Monsieur Moses Hess,  mais Theodor Herlz propose la création d´un état entièrement juif.      Auparavant, en 1882 il avait été crée (près de Jaffa) la première colonie agricole juif de Palestine, de telle manière que dès le début du XXème siècle, la affluence (plus ou moins clandestine) devient régulière dans la région. Ce mouvement de population a été tout de suit appuyé la diplomatie allemande, et l´entérinée de l´Empire ottoman, mais désapprouvée par les britanniques qui voyaient dans ce mouvement une menace potentielle sur la route des indes (par la via du Koweït). Malgré cela, en 1917 le ministre des affaires étrangères britanniques reconnait son soutien officiel à « l´établissement en Palestine d´un foyer national pour le peuple juif » autant que il soit aussi bien reconnu les droits du reste des communautés non juives (les arabes parmi autres).
Après la dislocation de l´empire ottoman, la société des mations confia la Palestine à la Grande Bretagne sous forme de mandat. Mais la tension entre arabes et juifs monta exponentiellement, de manière que la grande Bretagne, en cherchant l´équilibre entre les deux peuples limita l´affluence de juifs dans la zone, mais les juifs se concentrèrent sur le plateau côtière. Pendant la période d´entre guerre, les tensions entre les uns et les autres ne feraient qu´augmenter, jusqu´à qu´en 1929 éclate la révolte des arabes contre les anglais. Mais la période d´entre guerres s´identifie surtout pour l´accroît de l´antisémitisme (en Allemagne, la Pologne, etc.). Les sionistes, pour se protéger contre les attaques des uns et autres s´organisent en village qui fortifient, à travers la création d´une armée (la Haganah), et encombrant avec l´organisation d´un gouvernement officieux présidé par David Ben Gourin. Un nombre significatif des juifs y viennent pour se protéger en passant en 1935 à 375.000 dans la région. Puis, les britanniques vu leur accroit, décident de interdire toute nouvelle immigration de juifs. Mais ceux, déjà organisés de façon clandestin menèrent des attentats contre les britanniques. C´est vrai que pendant la deuxième guerre mondiale, les sionistes soutinrent les anglais, mais dès la fin du conflit, la situation redeviendra à celle de la période d´entre guerres.
 Au lendemain de la guerre, le scandale pour les meurtries des juifs fut tel que les britanniques décideront que dès que une solution de partage entre les deux communautés sera trouvé ils abandonneront la zone. En 1947 l´organisation des nations unis décide de divisé la Palestine en deux états, en gardant Jérusalem et Bethléem comme des enclaves internationalisées. Cette décision est clairement refusée par tous les États Arabes du Moyen-Orient. Ceux de Palestine commencèrent a attaquer les village juifs sans même attendre la sortie des anglais.
En 1948 l´ONU proclame l´indépendance d´Israël (avec, par ailleurs l´entérinée de l´URSS). À ce moment là des troupes arabes syriennes, Libanaises, jordaniennes, irakiennes, et égyptiennes ont commençait un attaque (peu coordonné) aux positions israéliennes. Pendant un moins les Israéliens ne sont pas capable de s´organiser pour leur défense (sans une organisation claire, un manque des armes, etc.). Mais un moins plus tard, l´ONU décide un cessez-le-feu, qui permettait aux israéliens de prie pour soutien international et d´acheter des armes d´ailleurs.         
Le cessez-le-feu ne tarde pas de être sauté par l´Egypte quelques moins après de sa signature. L´occasion est bien profité à niveau stratégique par l´armée israélienne qui lance une grande contre- offensive en récupérant la Galilée et le lac de Tibériade. Après, ils se lançaient vers la conquête du sud dont le Mont Sinaï était l´objective ciblé. La « terre promise » avait une valeur primordiale pour eu, mais les pressions américaines et la potentielle contre-offensive britannique vers le canal de Suez freinaient l´avance des troupes israéliennes vers le sud-ouest. Cette défait resterait long temps dans la mémoire des pays arabes. Humiliés ils considérèrent désormais la reconquête d´Israël une cible prioritaire. Aussi, les dépenses militaires accroîtront dans la quasi-totalité des États arabes. Les arabes cherchaient le soutien militaire dans l´union soviétique.  Dans ce contexte on trouve les connues comme quatre guerres Israélo-arabes. En 1948 celle qu´on vient de décrire. Après, en juin de 1967, la guerre des six jours, donc le président égyptien en alliance avec la Jordanie et la Syrie décident de bloquer le golf d´Aqaba, en empêchant la livraison de pétrole iranien à l´Israël. Le 5 juin (le début de la guerre des 5 jours) Israël contre-attaque en détruisant au sol l´aviation égyptienne. Deux jours plus tard, ils expulsaient l´armée jordanienne de Cisjordanie, et encore, un autre deux jours plus tard ils reprenaient le mont Sinaï et le canal de Suez. Le 11 juin la guerre est terminée par un cessez-le-feu imposé par les Américains et les Soviétiques. Le contenu de cet accord là, marque jusqu´à aujourd´hui les enjeux politiques et stratégiques de la zone, surtout parce qu´en 1967 les Israélien avaient conquêt des territoires traditionnellement possèdes par les arabes dont le Sinaï et Gaza. La politique diplomatique d´Israël consistait désormais, en échange certains de ceux territoires pour la reconnaissance des états arabes de leurs frontières.
Malgré, en 1973 éclat la guerre du Kippour. L´armée égyptienne profite l´occasion des fêtes religieuse pour attaquer les israéliens et rentrer en Israël vers le canal de Suez. La guerre s´étendre quelques années (grâce en part à la défense perpétrait par Ariel Sharon), jusqu´à le nouveau traité de paix de 1979. La terre du Sinaï est restitué aux égyptiens, mais la bande de gaza restait du côté Israélien. Mais les problèmes restaient avec la Syrie dont le haut Golan était la clef des différences. Avec la Jordanie, le traité est signé en 1994 sans que les Israéliens évacuent la Cisjordanie..
Israël a utilisé toujours une stratégie de « surpeuplement» des territoires arabes. C´est le cas notamment de la Cisjordanie mis aussi de la bande de Gaza. En Gaza, en part pour la pression internationale les colonies israéliens ont disparu en 2005, mais elles continuent a s´accroît en Cisjordanie. L´intifada Palestinien de 1987 (guerre des pierres) trouve sa cause en ceux colonies en la bande de Gaza. Mais, la naïveté disparait lors de la création (initialement clandestin) de Hamas en 1988 comme mouvement de la résistance islamique. Les heurts sont de plus en plus habituels dont souvent  il y participe de côte des palestiniens des enfants. Cela, fait tourner l´opinion  publique internationale vers les habitants de Gaza. L´opinion publique internationale commença a jouer un rôle très dans le conflit. Mais en 1991, lors de l´éclatement de la URSS, Les peuples arabes perdent un fort allié au cas d´un nouveau contre-attaque. Les rapprochements pour trouver des solutions entre les deux parties se réalisent près d´OSLO, de manière secrète en 1993, qui culmine avec les connus comme accords d´Oslo. Désormais, l´OLP ne serait plus considérée comme une organisation terroriste mais comme la représentante licite du peuple palestinien pour Israël, mais en échange, celle-ci reconnaissait enfin l´existence d´Israël. En s´opposant à cet accord, les leaders de la droite religieuse israélienne et les leaders de Hamas. L´épineuse sujet des colonies israéliennes n´était pas abordé pendant les négociations, même si séparément les palestiniens ont continué à demander publiquement l´abandonne des israéliens des colonies. D´autre côte, le contrôle israélien de la bande de Gaza et des territoires Cisjordaniens devra se faire désormais en fonction de trois zone :
a.       Une zone A, comprenant la plus grande partie de la zone de Gaza, Jéricho, les villes de l´Hébron, Bethléem, Ramallah, Naplouse, Djenin et Tulkarem.  Tout à fait autonome, sous la responsabilité exclusive de l´autorité palestinienne.
b.      Une zone B, sus responsabilité partagé entre les uns et les autres.  Elle comprenne la partie sur le plateau qui sépare les autres deux zones.
c.       Une zone C, restant sous contrôle israélien.
Malgré tous les inconvénients pour les palestinien, cette solution pourrait être le début de un processus qui pourrait aboutir `la création d´un véritable état palestinien. Mais un peu plus tard, le premier ministre Israélien est assassiné, et le progrès des colonies en la Cisjordanie recommençaient sous l´auspice des religieux radicaux de droite Israélien. De l´autre côte, Hamas qui s´opposait aux accords dés le début demande aux palestiniens de retourner à terre sante pour participer à la lutte contre les juifs. En 2000 y éclatait une nouvelle intifada, mais à différance de la précédent, dans celle-là des armées à feu sont utilisées. Hamas commença à perpétrer des attentats à bombe contre des civils israéliens. Dans ce contexte Sharon emporte des élections en Israël en se appuyant sur l´idée de assurer le territoire Israélien par la force si c´est nécessaire. Et, effectivement, les opérations militarisées se sont rendues dans les villes palestiniennes comme Bethléem ou Djenin et les murs fortifiés sont construits.                              
                En 2004, le général Sharon abandonne définitivement la bande de Gaza. La situation y améliorait par rapport à un essai des nouveaux accords de paix. Puis que le modéré Mahmoud Abbas devient le leader de l´Autorité palestinienne en 2005 en substituant Arafat  pour décès. En plus cette même année Ariel Sharon disparait de la scène politique lors d´un grave accident cérébral. Pour opposition, en janvier 2006, Hamas devient par victoire électorale un acteur majeur dans la région. Les projectiles artisanaux survolent les murs vers l´Israël. En fait depuis sa prise de pouvoir, Hamas a manifesté publiquement son idée de lutte armée contre Israël. Le blocus Israéliens des frontières de Gaza s´accroit. Et les raids aériens se reproduisent sur le territoire du Gaza au point que en décembre 2008 une opération majeur a lieu sur Gaza basés sur des bombes. Elle est nommée « plomb durci». Au cours de la quelle les Israéliens entrent dans certaines villes de la bande de Gaza. La communauté internationale, à travers le conseil de sécurité des nations unies et l´Union Européenne demande l´arrêt des combats. Deux jours après le cessez-le-feu, Barack Obama est proclamé présidant. Son premier appel officiel  est réalisé au Mohamed Abbas (leader de l´Autorité Palestinienne) au fil de la quelle, il monts son opposition aux colonies et son intention de relancer le procès de paix et de gérer  les négociations bilatérales.
                A nos jours, la situation reste encore instable. Les négociations se sont arrêtées plusieurs fois malgré la pression internationale. Environ 150 palestiniens de la frange ont été tues les derniers 5 jours par les bombardements Israéliens (dont plusieurs civils et des enfants). Aujourd´hui, 21 septembre 2012 la pression de l´Egypte et les États unies a permit un nouveau cesse du feu mais il reste instable. On y restera attentif… 


viernes, 16 de noviembre de 2012

Pour une révolution fiscale


  La fiscalité française est asphyxiée par sa complexité, son manque 
de transparence et l’accumulation de privilèges pour une minorité
de contribuables ultra-riches. Mais on en reste trop souvent, en 
la matière, à des énoncés aussi vagues que stériles.

Ce livre innove en proposant une critique d’ensemble du 
système fiscal français. Il démontre scientifiquement, pour la 
première fois, le caractère régressif de l’impôt dans notre pays 
(ce qui signifie que, tous prélèvements confondus, les 
taux d’imposition sont plus élevés pour les ménages les plus 
modestes et s’abaissent pour les plus riches). Pour cette raison, 
il fera date.

             Mais cette analyse au scalpel ne se contente pas de mettre au jour l’injustice du système. Elle plaide pour une révolution fiscale, chiffrée et opérationnelle, fondée sur trois principes : équité, progressivité réelle, démocratie. Ce livre contribue de manière décisive à l’édification d’une nouvelle critique sociale et se pose au centre du débat politique pour les années à venir.
 
  Il s´agit d´un livre d´intervention publique, tourné à la fois vers l´analyse et vers l´action.
 



Sur la taxe Fouquet´s



François Hollande a imposé la création d´une nouvelle taxation.  La taxe Fouquet consistant en une imposition à 75% de la part des revenues dépassant un million d´euros par an (en autre mots : 82.000 euros par moins), touchera selon les prévisions socialistes les 0.01% des Français (entre 3000 et 3500 foyers fiscaux). Pour être entre le 0.01% le plus riches. Il faut insister sur l´idée que ça qui sera impose sera le taux marginale (c´est-à-dire, celle qui soit sur dessous un million d´euros).

Tranches actuelles de revenus (par an)
Taux actuels
Jusqu´à 5.963 Euros
0
De 5963 à 11896 Euros
5.5%
De 11896 à 26420 Euros
14%
De 26640 à 70830 Euros
30%
Plus de 70830 Euros
41%
Proposition de Hollande
De 150.000 à  un million
45%
De dessus 1 million
75%











Ce taux, a fait beaucoup parler en France les dernières deux semaines, puisque elle représente symboliquement un clivage important entre la droite et la gauche.

Le socialiste a défendu sa mesure comme « de moralisation […] dans une période très difficile et […] comme signe envoyé à ceux qui occupent certain position sociale de se faire charge d´une responsabilité : celle d´entraîner les autres».

Il faut dire que l´impôt sur le revenu est progressif en fonction de un taux marginal organisé à partir de un barème divisé en 5 tranches :  

Ça y est l´explication des tranches:

-          Tout le monde payera le même 0 Euros jusqu’à 6000 Euros, même si en total il gagne 80.000 par moins.

(De manière qu’une personne qui gagne 50.000 euros ne payera pas le 30% de ses revenus sinon environ 15%.)

Pour comprendre cette mesure mise en place il faudrait ajouter de manière supplémentaire sur les revenus des contribuables les suivants charges fiscaux :

1.       Le taux (celui) idée par François Fillon en 2011 qui touche à  3% des revenus au-dessus de 250.000 Euros par an et à 4% ceux au-dessus de 500.000 euros.
2.       La CSG (la contribution sociale généralisée) qui touche aussi les salaires (et pourtant considérable comme impôt sur le revenu)


Cette annonce a motivé des réactions diverses. Il y en a des uns (comme Vincent Drezet, secrétaire national du Syndicat national unifié des impôts (Snuip), qui l´a jugé comme positive grâce à son « intérêt pédagogique et symbolique, […] si elle s'inscrit dans une réforme fiscale plus vaste", mais ou même temps Il y en a des autres qui ont considéré la mesure comme insuffisante, et électoraliste et qui va pas péniblement et peu aide réduire le déficit fiscal de la France. Et en fait, selon le syndicat national unifié des impôts à reconnu que cette mesure reportera au maximum de 250 millions d´euros.
                (Les doutes qui se sont posés sont si telle mesure ne vas pas motive l´exile fiscale de ceux qui sont les plus riches, ou si Ils ne seront pas intensifié la utilisation de certains moyens de réduction d´imposition).