miércoles, 10 de octubre de 2012

La banque centrale et la baisse des salaires


A-t-il existe une relation entre la disparition des compétences de la banque centrale espagnole en relation à la monnaie nationale et sa dévaluation et la baisse significative des salaires?
(Commentaire sur la publication du “monde diplomatique” de 9 octobre 2012: “compétitivité: l´aveu de Mme Christine Lagarde)

            S´on analyse le processus d´intégration bancaire on observe clairement une concomitance entre celui là et le décroissement des salaries. On ne peut pas affirmer que cette relation soit directe ou que la totalité de la baisse puisse être expliqué par la perte des compétences de la banque centrale espagnole en relation à sa monnaie. Mais on voit que un pays comme l´Espagne (qui est en train de subir les conséquences d´une des majeures crises économiques de sa démocratie) a besoin d´exporter à fin de reduir son déficit commercial. Traditionnellement il l´aurait fait à travers d´une dévaluation superficielle du taux de change à l´objet de faire devenir ses produits plus compétitifs et comme conséquence transformer sa balance commerciale en positive.
            Mais, cela n´est plus possible, et par conséquence la baisse doit être provoqué par la vais d´autres mesures non –monétaires; c´est-a dire, a travers les coûts productifs (salaries, profits, marges des distributaires, etc.).
            Si on considère (ceteris paribus) que la concurrence “naturelle” a déjà réduit les marge des profits des entreprises on conclurait que les salaries sérient révises à la baisse (en tout case les marges des distributaires répercuterions aussi sur les salaries correspondent à cette entreprise).
            Mmm. Lagarde l´a déjà confirmé au journal “le monde diplomatique” en disant que en faisant baisser le prix des facteurs productifs, en particulier le prix du facteur travail, on espère rendre les pays plus compétitifs et plus intéressants pour les investisseurs étrangers”. Si je puisse me permettre y faire une tradition libre on dirait que la précarité est bonne pour notre pays…

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