A-t-il existe une relation
entre la disparition des compétences de la banque centrale espagnole en
relation à la monnaie nationale et sa dévaluation et la baisse significative
des salaires?
(Commentaire sur la
publication du “monde diplomatique” de 9 octobre 2012: “compétitivité: l´aveu
de Mme Christine Lagarde)
S´on
analyse le processus d´intégration bancaire on observe clairement une
concomitance entre celui là et le décroissement des salaries. On ne peut pas
affirmer que cette relation soit directe ou que la totalité de la baisse puisse
être expliqué par la perte des compétences de la banque centrale espagnole en relation
à sa monnaie. Mais on voit que un pays comme l´Espagne (qui est en train de
subir les conséquences d´une des majeures crises économiques de sa démocratie) a
besoin d´exporter à fin de reduir son déficit commercial. Traditionnellement il
l´aurait fait à travers d´une dévaluation superficielle du taux de change à
l´objet de faire devenir ses produits plus compétitifs et comme conséquence transformer
sa balance commerciale en positive.
Mais, cela n´est plus
possible, et par conséquence la baisse doit être provoqué par la vais d´autres
mesures non –monétaires; c´est-a dire, a travers les coûts productifs
(salaries, profits, marges des distributaires, etc.).
Si on considère (ceteris
paribus) que la concurrence “naturelle” a déjà réduit les marge des profits des
entreprises on conclurait que les salaries sérient révises à la baisse (en tout
case les marges des distributaires répercuterions aussi sur les salaries
correspondent à cette entreprise).
Mmm. Lagarde l´a déjà
confirmé au journal “le monde diplomatique” en disant que en faisant baisser le
prix des facteurs productifs, en particulier le prix du facteur travail, on
espère rendre les pays plus compétitifs et plus intéressants pour les investisseurs
étrangers”. Si je puisse me permettre y faire une tradition libre on dirait que
la précarité est bonne pour notre pays…
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