Une question qui se pase par ma tête: pourrait-il sourvivre l´écologie si elle ne se adapte pas au système économique? |
martes, 23 de octubre de 2012
faut-il nourrir l´économie avec de l´argent?
L´intégration de l´environnement dans l´économie ou l´adaptation de l´économie à l´environnement
La lutte contre la dégradation de l´environnement
a été une des préoccupations de l´organisation des nations unies dès sa
création. Cette semaine, des nombreuses organisations no gouvernementales, des
organisations à but non – lucratives, des associations civiles et environ cent
soixante pays se sont rendus en Inde
pour en discuter à la conférence de la biodiversité.
Une des questions fondamentales
qui s´est posée, et sujet des intenses débat, c´est la relation entre les
services rendus par la nature par rapport au système économique. C´est à dire :
est-ce qu´il faut faire payer aux gouvernements et entreprises pour les
services rendus par la nature dont ils profitent bien ?
La réponse est claire
pour certains économistes et théoriciens comme l´indien Mrs Pavan Sukhdev qui
affirme que pur faire comprendre […] à quel point la biodiversité est
importante, vous devez leur montrer la valeur en dollars des services fournis
par les écosystèmes.
En fait, cette idée
s´est appuyé sur des nouvelles recherches qui montrent que les services fournis
par la nature est élevée. En expliquant plus de détailles les rapports montrent
comme pour exemple, la pollinisation des abeilles donne un service calculé en
190 milliards de dollars par année ou comme les profits des mangroves contre
les tempêtes sont équivalents à environ
1000 dollars par hectare et année.
Dans le même cas, l´ONG
Birdlife argumente que si on compare ces chiffres avec par exemple le coût des
programmes mondiaux pour réduire le
risque d´extinction de toutes les espèces menacées (4 milliards de dollars),
cela serait juste de taxer ces services.
Mais les manières
d´application restent assez ouvertes. A niveau pratique trois alternatives
d´imposer ces services sont possibles : à travers des taxes, à travers des
redevances ou bien vers la création de systèmes de facturation de « services ».
Dominique Moran (professeur
en économique de l´environnement au Rural collège d´Ecosse) a dit que « si
les ressources sont confiées à des communautés au à des pays […] ils auraient alors
le choix de les facturer », mais en tout cas, pour l´économiste Donal
McCarthy chacun devrait payer pour sa dépendance, son utilisation [des ressources]
et ses impacts sur la diversité s´il souhaite que cela continue à être
disponible ».
miércoles, 10 de octubre de 2012
La banque centrale et la baisse des salaires
A-t-il existe une relation
entre la disparition des compétences de la banque centrale espagnole en
relation à la monnaie nationale et sa dévaluation et la baisse significative
des salaires?
(Commentaire sur la
publication du “monde diplomatique” de 9 octobre 2012: “compétitivité: l´aveu
de Mme Christine Lagarde)
S´on
analyse le processus d´intégration bancaire on observe clairement une
concomitance entre celui là et le décroissement des salaries. On ne peut pas
affirmer que cette relation soit directe ou que la totalité de la baisse puisse
être expliqué par la perte des compétences de la banque centrale espagnole en relation
à sa monnaie. Mais on voit que un pays comme l´Espagne (qui est en train de
subir les conséquences d´une des majeures crises économiques de sa démocratie) a
besoin d´exporter à fin de reduir son déficit commercial. Traditionnellement il
l´aurait fait à travers d´une dévaluation superficielle du taux de change à
l´objet de faire devenir ses produits plus compétitifs et comme conséquence transformer
sa balance commerciale en positive.
Mais, cela n´est plus
possible, et par conséquence la baisse doit être provoqué par la vais d´autres
mesures non –monétaires; c´est-a dire, a travers les coûts productifs
(salaries, profits, marges des distributaires, etc.).
Si on considère (ceteris
paribus) que la concurrence “naturelle” a déjà réduit les marge des profits des
entreprises on conclurait que les salaries sérient révises à la baisse (en tout
case les marges des distributaires répercuterions aussi sur les salaries
correspondent à cette entreprise).
Mmm. Lagarde l´a déjà
confirmé au journal “le monde diplomatique” en disant que en faisant baisser le
prix des facteurs productifs, en particulier le prix du facteur travail, on
espère rendre les pays plus compétitifs et plus intéressants pour les investisseurs
étrangers”. Si je puisse me permettre y faire une tradition libre on dirait que
la précarité est bonne pour notre pays…
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